Das Urteil im Redevance-Prozess ist gesprochen
Wie die meisten Nutzungsrechtsinhaber in Euronat wissen, ist nach einer Reihe von arbeitsintensiven Verhandlungen zwischen der dafür gebildeten Kommission der IFE und der Leitung der Firma Euronat Ende 2014 ein Protokoll unterschrieben worden, das die Grundlage für die Redevance in den Jahren 2015 bis 2024 bildet. Diese Übereinkunft ist von mehr als Dreivierteln der Nutzungsrechtsinhaber akzeptiert worden, die daraufhin ihre Rechnungen in der von Euronat auf der Grundlage des Protokolls von 2014 berechneten Höhe beglichen haben.
Obwohl den Vereinbarungen von den IFE-Mitgliedern mehrheitlich zugestimmt wurde, hat eine kleine Gruppe von Nutzungsrechtsinhabern mit Unterstützung der IFE anschließend dagegen geklagt. Nach einer nunmehr 6-jährigen gerichtlichen Auseinandersetzung wurde Ende 2020 ein Urteil gefällt, welches für die Kläger negativ ausging. Gegen das Urteil kann noch von beiden Seiten Revision eingelegt werden. Aber inwieweit dies für die Kläger sinnvoll ist sei dahingestellt, denn zu den bisher aufgewendeten - nicht unerheblichen Kosten - kämen neue hinzu.
Die Kläger wären bestimmt nicht gut beraten, gegen das Urteil weiter zu klagen. Die nach diesem Urteil mit einem hohen 4-stelligen Betrag (nach unseren Recherchen für einen Haustyp Landais oder vergleichbar ca. 5000.-€ inkl. Verzugszinsen und Mahngebühren) aufzuwendenden Nachzahlungen an Euronat würden sich - nach 2 Gutachten - sicherlich nicht verringern. Dazu kämen dann noch weitere Rechtsstreitkosten.
Es wäre jetzt – auch für den Vorstand der IFE - der Zeitpunkt sich dafür einzusetzen, diesen Streit – und andere Rechtsstreite - zu beenden und sich zusammen mit Euronat den Aufgaben zu widmen, die für alle Nutzungsrechtsinhaber wichtig und zukunftsweisend sind. Denn wie das langjährige Streit-Verfahren zeigt, hat es niemandem genutzt (außer den Anwälten). Vielmehr wurde das in über mehr als 20 Jahren aufgebaute gute, vertrauensvolle und partnerschaftliche Verhältnis zwischen den in der IFE organisierten Nutzungsrechtinhabern und Euronat zerstört. Die IFE Führung sollte sich jetzt überlegen, wie das ursprüngliche Vertrauensverhältnis zwischen Euronat und IFE – auch im Hinblick auf die in 2024 anstehenden Redevance-Neuverhandlungen – wieder hergestellt werden kann.
Axel Stottmeister
Cie-ige
03.01.2021
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Le verdict dans le litige de redevance est rendu
Comme le savent la plupart des titulaires d’un droit de jouissance d'Euronat, après une série de négociations à forte intensité de main-d'śuvre entre la commission de l'IFE formée à cet effet et la direction d'Euronat, un protocole a été signé fin 2014 qui constitue la base de la Redevance de 2015 à 2024. Cet accord a été accepté par plus des trois quarts des titulaires, qui ont ensuite payé leurs factures pour le montant calculé par Euronat sur la base du protocole de 2014.
Bien que les accords aient été approuvés par une majorité de membres de l'IFE, un petit groupe de propriétaires, soutenu par l'IFE, ont porté plainte contre cet accord. Après une bataille juridique de 6 ans, un jugement a été rendu fin 2020, qui s'est avéré négatif pour les plaignants. La décision peut toujours faire l'objet d'un appel par les deux parties. Mais il reste à voir dans quelle mesure cela a un sens pour les plaignants, car de nouveaux frais s'ajouteraient aux frais - non négligeables - encourus jusqu'à présent.
Les plaignants ne seraient certainement pas bien avisés de continuer à faire appel du jugement. Après ce jugement avec un montant élevé à 4 chiffres (après nos recherches pour une maison de type Landais ou comparable environ 5000.-€ y compris les intérêts de retard et les frais de rappel) les paiements supplémentaires à Euronat à dépenser ne diminueraient sûrement pas - après 2 expertises. En outre, il y aurait d'autres frais juridiques.
Le moment est venu - également pour le conseil d'administration de l'IFE - de s'engager à mettre fin à ce conflit - et à d'autres litiges juridiques - et de se consacrer, avec Euronat, aux tâches qui sont importantes et tournées vers l'avenir pour tous les détenteurs de droits de jouissance. Car, comme le montre la longue procédure de règlement des litiges, elle n'a profité à personne (sauf aux avocats). Au contraire, elle a détruit la bonne relation de confiance et de coopération établie depuis plus de 20 ans entre les propriétaires organisés au sein de l'IFE et d'Euronat. Les dirigeants de l'IFE doivent maintenant réfléchir comment rétablir la relation de confiance initiale entre Euronat et l'IFE et avec une vue constructive et créer des perspectives pour les prochaines conférences de redevance en 2024.
Axel Stottmeister
Cie-ige
03.01.2021